Un ancien ambassadeur, une musicienne héritière d’une société de Bubble Tea et une activiste digitale se retrouvent sur scène afin de proposer, au nom de la liberté de l’art, un espace d’immunité temporaire exposant les différents points de vue sur Taïwan.
Ce curieux lieu d’échange reforme, 26 ans après sa disparition, le rôle que le pays au statut étrange avait lors de la création de l’ONU en 1945, dont il était membre fondateur. Les trois protagonistes élaborent de cette manière une ambassade fictive et limitée dans le temps, qui leur permet de représenter au mieux leur pays.
Cela donne lieu à trente séquences où les Taïwanais échangeront sur des sujets variés, tels que les hymnes, les drapeaux, la religion, la Chine ou les États-Unis.
Infos
Ceci n’est pas une ambassade (made in Taïwan)
Du 16 au 18 octobre à 19h, 19h30 ou 20h30.
Théâtre des Célestins, Lyon 2.
De 8 à 42 €.