À l’image de la citation de Philippe Halsman - "Demande à quelqu’un de sauter et tu verras son vrai visage" -, la performance se concentre sur un mouvement spécifique qui sera répété tout au long de la danse : le saut. La chorégraphie est accompagnée de la seule mélodie des chaussures qui crissent au sol et de la respiration des danseurs : The Dog Days Are Over montre l’épuisement physique des artistes au service du divertissement.
Une résonance avec la chanson phare de Florence + the Machine, qui dresse une ode aux nouveaux départs.
L’engouement reçu pour la pièce était tel que le Belge a décidé de revisiter sa propre œuvre avec une nouvelle génération d’artistes.
Infos
The Dog Days Are Over 2.0.
Du 17 au 19 septembre à 19h.
Théâtre des Célestins, Lyon 2.
De 7,5 à 32 €.