Cette année, elle propose dans le cadre de la Biennale de Lyon une chorégraphie sur ces espaces d’entre-deux que sont les frontières, intitulée Borda. En portugais, cela désigne à la fois le geste de la broderie et la limite. Ici, les corps se mélangent, se métamorphosent.
Cette poésie consacrée à la séparation et à l’aptitude à tisser de nouveaux liens, n’est pas sans rappeler May B de Maguy Marin.
Borda
Les 6 et 8 septembre à 19h30. Maison de la Danse, Lyon 8. De 15 à 35 €.